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Le nouveau ministre de l’Economie assistera au redémarrage d’une série d’électrolyse d’aluminium chez Trimet France
L’usine d’aluminium Rio Tinto Alcan (RTA) de Saint-Jean-de-Maurienne est passée dans le giron de l’Allemand Trimet en juillet 2013 après des mois de négociations auxquelles le ministère de l’Economie et son ministre de l’époque, Arnaud Montebourg, avaient pris une grande part. Un an plus tard, le successeur d’Arnaud Montebourg, Emmanuel Macron, doit venir demain assister à l’un des objectifs de Trimet: le redémarrage de la « série F » d’électrolyse, que RTA avait arrêté il y a cinq ans.
Depuis sa prise de contrôle, Trimet poursuit son plan de développement de l’usine. Il passe par un retour à la pleine capacité de production de la « série G », la plus moderne, et la remise en service de la série F. Parallèlement, l’industriel allemand, basé à Essen, dans la Ruhr, a entrepris une démarche de recrutement et de formation de personnel, pour faire face à ses objectifs de production.
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Trimet investit 38 millions d’euros à Saint-Jean-de-Maurienne : le modèle allemand prend en Savoie
Cet article est réservé aux abonnés de l’Usine Nouvelle Un an après sa reprise par le groupe allemand Trimet, l’usine de Saint-Jean-de-Maurienne (Savoie) tourne la page Rio Tinto. Une ligne de production redémarre après cinq ans d’arrêt, l’usine investit et se diversifie.
L’usine de Saint-Jean-de-Maurienne (Savoie) de Trimet France s’est mise à l’heure allemande et cela semble lui réussir. L’ancienne filiale de Rio Tinto, spécialisée dans la production de fils d’aluminium, a redémarré la série d’électrolyse F arrêtée en 2009 avec la crise économique et la baisse du prix du métal. Ce redémarrage est inscrit dans le projet industriel de reprise de l’usine par Trimet et la moitié de la série est remise en route.
145 000 tonnes d’aluminium par an
Aujourd’hui l’Allemagne, il y a quelque temps la Chine mais aussi l’Inde, les USA, la Russie… bientôt la France n’appartiendra plus aux français : c’est ça le changement !
Mais c’est le résultat des prédécesseurs, l’ennemi c’est la finance.
Heureusement que j’ai encore un certain nombre de dents.
L’ennemi n’est pas seulement la finance qui veut ses dividendes et se fout de l’avenir des entreprises, une fois qu’elles ont bien été pressurées…
Ce sont aussi les Français eux-mèmes, qui préfèrent que leurs enfants soient fonctionnaires, footballeurs ou kiné., au lieu d’entreprendre ou de plonger dans le monde industriel!!
On sait le peu d’estime dans laquelle est tenu le travail manuel, l’industrie, tous ces métiers jugés peu valorisants, sales, vieillots, dangereux, polluants) par des gens qui n’en connaissent absolument rien ou en ont hérité des visions d’il y a un siècle.