que celle de cette statuette en argent (en non en régule) retrouvée aux puces de Montreuil par un chineur.Cette statuette, ni signée, ni poinçonnée serait donc un cadeau de Rodin à Camille, partie en Angleterre à 150 km de Londres se remettre d’une de ses interruptions de grossesse.
Notre ami Gilles depuis 24 années cherche les preuves de ce qui aujourd’hui est devenu son intime conviction et la notre.
n’en déplaise au Musée Rodin qui n’apporte aucun contre-argument.
Piwi peut adresser aux intéressés (sur demande) le pdf de cette démonstration de Gilles Perrault.
Ce n’est pas par son art que Camille Claudel s’est imposée à la postérité. Plutôt par un désastre : celui de son existence. Sa beauté, sa passion, sa folie, son enfermement. Sa mort était passée inaperçue, après trente ans d’internement au milieu des déments
Paul Claudel son frère avait eu ces mots terrifiants : « Ma sœur Camille ! Ah, c’est un sujet terriblement triste et dont il m’est difficile de parler (…). La nature s’était montrée prodigue à son égard ; ma sœur Camille avait une beauté extraordinaire, de plus une énergie, une imagination, une volonté tout à fait exceptionnelles. Et tous ces dons n’ont servi à rien : après une vie extrêmement douloureuse, elle a abouti à un échec complet (…) Moi, j’ai abouti à un résultat. Elle, elle n’a abouti à rien (…) ».
Elle n’avait abouti à rien.
Camille Claudel, un malheur, un destin. Une femme libérée des conventions de la morale bourgeoise. Elle s’était sacrifiée à l’admiration qu’elle portait, en Rodin, à un géant de l’histoire de l’art certes …et qui avait dans un contrat avec Camille souhaité lui offrir cette oeuvre en argent, non signée non poinçonnée.
http://www.gillesperrault.com/Conference/CSGP_Photographies.rar.
Je suis intéressé par le document de Gilles.
Merci pour le pdf
Le lien ne fonctionne pas, il faut suivre celui ci :
http://www.gillesperrault.com/Confe…