Mille ouvriers travaillaient dans la fonderie dans les années 70 et il n’y a plus rien. Plus rien que le chômage pour la majorité des 80 salariés licenciés. Plus rien que de grandes baies qui laissent voir des bureaux encombrés de paperasses et d’ordinateurs des années 90. Des ateliers immenses et vides. Une cour embarrassée de palettes, de ferrailles, de rebuts divers. Et partout cette boue noire qui colle aux chaussures.
« On dirait qu’une catastrophe a chassé tout le monde. » Ouest France