C’est un message à portée universelle.
S’ils veulent encore avoir la moindre chance de permettre à l’homme de continuer à vivre correctement sur cette planète à la fin de ce siècle, ceux qui nous gouvernent ne peuvent plus se contenter de demi-mesures. Ils doivent consacrer l’essentiel des politiques publiques à cet impératif supérieur, vital pour l’espèce.
Deux commentaires parmi tant d’autres à méditer ?
Comme personne ne veut s’y coller, je propose une citation qui va bien avec l’esprit gaulois :
« Les hommes n’acceptent le changement que dans la nécessité, et la nécessité que dans la crise. (J.Monnet). »
Cela me semble bien représenter la situation actuelle, vis-à-vis de l’évolution prévue du climat et des remises en causes nécessaires pour en limiter (ou du moins, tenter) les conséquences fâcheuses pour tous