Le Progrès –
L’intersyndicale craint que le tribunal de commerce de Dijon ne prononce la liquidation de la fonderie ce mardi 15 juin. Faute de trésorerie.
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C’est mardi prochain, 22 juin, que le tribunal de commerce de Dijon rendra sa décision qu’il a mise en délibéré ce mardi après-midi, à l’issue de la nouvelle audience.
La seule offre de reprise émane d’un personne qui a pris connaissance du dossier début Avril 2021, qui est étranger au monde de l’automobile, un financier qui ne connait rien à l’industrie de la fonderie, qui n’a jamais repris d’autres sociétés et qui « vise d’autres produits notamment des carters d’engins agricoles ou encore des pièces aluminium de deux roues et trottinettes électriques. »
Sérieusement, quelqu’un pense vraiment que l’on peut faire de tourner une fonderie avec quelques carters d’engins agricoles (combien sont en sous-pression???) ou des pièces de 2 roues et trottinettes qui sont actuellement fabriquées en Inde ou en Chine à des coûts défiants toute concurrence ?
La naiveté de certains dans ce pays m’étonnera toujours…
Piwi souscrit totalement à ce commentaire
mais regrette qu’un aussi bel outil,up to date, en matière d’investissement, disparaisse demain.
Le monde de la fonderie est affaire de spécialistes et celui de la sous-pression encore plus.
Comment a-t-on pu laisser faire ces investissements clossaux s’il n’y avait pas ou plus de marché ?
That is the question ?
Je rejoins vos avis sur la naïveté industrielle, et sur les regrets sur la perte de ce bel outil.
Cependant, pour avoir visité MBF, je ne penses pas que ce soit tout aussi rose que ce que vous dites.
Ils avaient certes 2 presses toutes récentes pour le carter E-tech Renault, mais qui ne leur appartenait pas si j’ai bien compris.
Et le reste de leurs outils ne m’ont pas semblé tout récent, même si à priori bien maintenu pour les plus grosses machines.
Et ces investissements ont l’air d’avoir été fait avec cohérence lors des débuts de projet E-tech, mais malheureusement il y a eu un désengagement du client (quant à savoir les vraies raisons…)
Il y avait certes un très beau potentiel mais financièrement parlant, sans le soutien des clients, ca ne semblait pas si facile que ca.