La fonderie ça conserve ou ça use ??? Piwi qui a bien connu ce grand patron de la fonderie Duranton-Sicfond au temps de la grande époque de la formation professionnelle du SGFF le salue bien amicalement et rappelle à ses enfants petits-enfants et arrières qu’il fut un très grand patron.
Il y a quelques semaines ce blog annonçait le décès de son successeur Georges Desbois.
Le Progrès –
C’est au milieu de ses enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants que Lucien Cadiou, vient de passer la barre des 100 ans. Un anniversaire en famille, pour ce Montchatois qui a eu une immense carrière d’ingénieur. Mobilisé durant la guerre, il sera fait prisonnier et envoyé en Allemagne.
Diplômé des arts et métiers, il entre, en octobre 1946, aux fonderies Duranton à Vénissieux, où il fera toute sa carrière, et partira en 1984 comme PDG. Il aura trois enfants avec Thérèse, dont la dernière Joëlle, lui donnera 9 petits-enfants et 5 arrière-petits-enfants. Durant sa vie, Lucien développera, avec l’Éducation nationale, l’apprentissage technique, puis la formation professionnelle dans les métiers de la fonderie. Il sera à l’origine des BTS de ce secteur en Rhône Alpes. Ce qui lui vaudra de recevoir en 1975, et en 1979 les palmes académiques comme chevalier et officier.
Piwi en route pour les 72 ans rencontrera demain Jean Louis Lambert qui va lui flirter avec les 82 ans ; il a aussi déjeuné avec Marcel Le Meur qui caracole chaque jour dans la foret de Montmorency à presque 92 ans.
Lucien Cadiou ici en photo semble bon pied bon œil à maintenant 100 ans.
Voilà de quoi me réconcilier avec les années et les perspectives en regardant ceux qui ont œuvré pour la formation et le devenir des fonderies de France et du monde.
Cher Piwi,tu aurais pu me faire signe,je suis dans la moyenne!Un amical bonjour à Lucien avec qui j’ai partagé de très bons moments.