Les Echos – Tout simplement parce que les constructeurs automobiles avaient prévu de mettre leurs usines en « stand-by » et leurs salariés en vacances, dans la perspective du scénario catastrophe du « no deal ».
Le report au dernier moment de la date de sortie ne leur a pas permis, à l’exception de Bentley, de faire machine arrière à temps.
Voilà donc des milliers de salariés et des chaînes à l’arrêt… pour rien. Sans compter que la même situation risque de se répéter à la prochaine échéance. Un exemple particulièrement éclairant des méfaits de cet interminable feuilleton sur l’économie britannique .