L’Union –
Dans le domaine de la fonderie ou de la forge, les entreprises du secteur peinent souvent à trouver de la main-d’œuvre. Un dispositif va être mis en place pour attirer les jeunes.
Les entreprises du Sedanais spécialisées dans la forge ou la fonderie, comme ici AFS, ont des besoins de main-d’œuvre mais leur secteur d’activité a tendance à rebuter les candidats.
Quand vous parlez de tourneur-fraiseur à quelqu’un qui n’est pas du secteur, il rigole. Dans l’esprit des gens, c’est un métier sale, dans le bas du panier.
Lorsque je faisais mes étains, j’avais deux jeunes qui adoraient ce métier, ils ont fait deux étains pour leur Maman ,je suis persuadé que si il y avait eu une école de Fonderie à Valence ou à Montélimar nous aurions gagné deux jeunes en Fonderie.
C’est toujours comme ça,celui qui a la possibilité d’apprendre ce beau métier sur place, n’en veut pas.Comme nous le disons souvent on ne peut pas faire boire un âne s’il n’a pas soif. Mon opinion un manque de courage, peur du métal en fusion, pour moi, ils n’ont pas l’amour du métier.