Mai 68. Loin du fracas de la capitale, la Méhari débarque en grande pompe sur le golf de Deauville.
Traduction de dromadaire en arabe, la nouvelle venue de Citroën se repère vite. Sur la base du châssis d’une 2 CV, le véhicule se débarrasse de sa carrosserie tôlée pour s’habiller de plastique ondulé aux couleurs de l’arc-en-ciel et, au gré des aléas météorologiques, d’une capote ouvrable.