Selon L’ UNION.
la filiale du groupe industriel français Delachaux excelle dans des domaines spécifiques, les petites pièces, les petites séries, les pièces compliquées et même « les moutons à… 25 pattes », des compétences très recherchées.
La première moitié de l’année 2011 fut effectivement bonne, mais la situation s’est dégradée de plus en plus, à partir du mois de septembre.
C’est une situation difficile à gérer. « Nous rencontrons d’excellents succès sur de nouvelles pièces hydrauliques complexes, à forte technicité », se réjouit l’industriel, « mais ce qui était très demandé auparavant est en attente, ou en retard, avec des commandes qui imposent des délais impossibles ».
Marcel Legrand Le DG lors de la remise des médailles du travail à 3 collaborateurs.
La qualité de travail de l’usine nouzonnaise est remarquable et les audits, qui se succèdent toute l’année, placent toujours la fonderie à un très haut niveau. Preuve encore, cet audit réalisé lundi par un client, qui s’est montré très satisfait du résultat. Mais l’expectative et le pilotage au jour le jour dominent. « J’aimerais pouvoir en dire plus », regrette Marcel Legrand. « Nous avons des gars qui bossent et qui le font bien. La situation n’est pas celle de 2009, mais il est temps d’y voir plus clair ».
Pas sûr que ce soit le cas rapidement, ni au niveau international ni au national, année électorale aidant !