Charlie Hebdo 50 ans
Nous avons souvent échangé sur ce sujet et sur le besoin que nombre de personnes ont de vouloir raccourcir la liberté d’expression, de vouloir contrôler les pensées des autres ou d’imposer les leurs
Ce dessin est un très extraordinaire dessin, une référence, Un hommage à Samuel Paty mais pas seulement!
Que chacun y voit ce qu’il souhaite y voir.
Le plus souvent dans ce blog, on communique sous couvert d’anonymat pour éviter des sanctions dans sa sphère personnelle ou professionnelle
La censure sourde s’y est invitée .
Anne O’Nyme & Francis Cubilot
qui regrettent regrettent le silence, la censure sourde de notre ami Mékilékon depuis quelques jours
Je ne commenterai plus jamais sur ce blog que j’ai beaucoup apprécié, suite à l’affaire « Sandra ».
Affaire dans laquelle des « commissaires politiques » ou « directeurs de la pensée » auto-proclamés m’ont accusé injustement de machisme et je ne sais quelle autre pensée non politiquement correcte.
La connerie n’ayant plus de limite, je n’ai plus rien à faire sur ce blog
Dont acte.
Piwi : est vraiment désolé
aurais-je dû censurer ? le propos blessant ?
en effet je n’avais vu et, il n’y avait pas de machisme dans le propos à mes yeux
oui si j’en avais imaginé les conséquences dommageables à nos echanges, j’aurais dû censurer.
C’est vrai, les commenntaires souvent très pertinents de notre Ami Mékilékon nous manquent.
« Le plus souvent dans ce blog, on communique sous couvert d’anonymat pour éviter des sanctions dans sa sphère personnelle ou professionnelle ».
Est ce toujours un anonymat volontaire ?
pour ma part, j’assume tout les propos que j’aurais pu tenir sur ce blog. Si certains commentateurs sont dans le même état d’esprit, Je suis curieux de savoir quelle personne et quelle histoire se cache derrière tel ou tel pseudo récurent et je n’aurais pas peur de dévoiler la mienne.
(Peut être une idée de fil rouge sur le blog, comme il y en a eu pour la présentation du bureau de l’ATF ?)
Piwi c »est aussi Francis Cubilot….
….quand je suis en pétard et déçu de la collaboration de l’ Amicale et des fondeurs et
que j’en ai marre de ce travail de bénédictin….que mon fils m’a imposé en 2006 lors des 60 ans de son ecole le CFJ :
; « Faire un blog, c’est facile mais s’y tenir tous les jours c’est nécessaire pour le tenir »
et mes amis fondeurs retraités de me dire : il faut savoir tirer un trait.
Un coup de bloes pour une affaire qui ne méritait pas de s’offusquer.
Passer outre et à autre chose de beaucoup plus valorisant serait une très bonne chose.
J’ai été aussi mis à la vendicte mais ai très vite oublié les pauvres de la pensée qui voulu me fusiller.
Je ne suis pas sûr de comprendre la réponse au bas de mon commentaire.
Je disais juste qu’il aurait été intéressant que les commentateurs récurrents puissent se présenter à l’occasion. Cela permettrait de mieux comprendre les points de vues de chacun et connaître les origines et expériences des « Anonymes » qui ne sont pas passé par l’ESFF ou qui ne sont tout simplement pas du métier.
C’est peut être une idée bête, mais je trouve cela dommage, tant d’anonymat alors que le monde de la Fonderie française est déjà très petit.
Cher MEKILEKON
C’est justement de cette censure sourde dont parle ce dessin, vous aviez justement apporté de l’eau au moulin et soutenu les femmes qui apportent leur intelligence et leur passion à notre métier. Mais certains ne l’ont pas compris et vous ont injustement et inutilement vexé, je partageais vos pensées et pas leurs commentaires.
J’ai repris les commentaires un à un il est question dans l’un d’entre eux de générations, PIWI a posé plus récemment la question de quelle génération êtes vous X Y Z Boomers silencieuse?
La polémique est née de cette angle de vue des X Y ou Z, certainement différentes des autres et d’un manque de recul je pense.
Quand Nougaro chantait AMSTRONG et jouait avec ses mots sur la couleur de peau, personne n’arrêtait son tour de champ (chant), car tous savaient combien il adorait chanter le jazz avec ses notes noires et blanches.
Récemment une grande et inutile polémique est née parce qu’un arbitre Roumain a désigné dans sa langue la couleur de peau d’un technicien du foot. Nombre de personnes se sont emparées de cet incident pour vouer aux gémonies cet homme qui n’avait fait que désigner une couleur dans sa langue natale…
Les gens qui me connaissent pourront vous dire que je ne suis ni machiste ni raciste ni phallocrate, mais la semaine dernière j’étais de ceux qui défendait cet arbitre Roumain certainement moins bien nanti que tous ceux qui l’ont lapidé publiquement. Je trouve légitime le mouvement Black live’s matter, mais là c’est à la fois le contexte et le manque de recul qui ont fait injustement de cet arbitre, un bouc émissaire !
Sandra que je ne connais pas avait justement clos les débats par ses nombreux et bienveillants commentaires.
Elle a laissé entendre que tous, hommes ou femmes aimons à être aimées et aimés que ce soit pour notre beauté notre charme nos compétences professionnelles. Le besoin de reconnaissance est une des bases de notre pyramide des besoins, et ce besoin est le même pour nous tous.
Sandra a confirmé qu’elle avait apprécié vos propos.
Je la suis sur cette idée, car vouloir nier ce besoin de reconnaissance me semble injustifié.
Alors pour conclure, continuer de publier vos commentaires monsieur, ne donnez pas raison aux censeurs qui ont trop rapidement déplacer du contexte vos propos
AMICALEMENT
Anne
Piwi : Merci Anne pour vos propos.
Quand je relis les différents commentaires du post en question, je trouve que le terme « censeurs » est un peu exagéré.
Il n’y a eu aucune animosité lorsque les propos de Mékilékon ont été critiqués.
Simplement une remarque, un avis, puis un débat toujours compréhensif car on sait tous que ce qui ne nous choque pas, peut toujours choquer d’autres personnes et que ça ne fait pas de vous une méchante personne.
Je pensais que l’on pourrait débattre sur ce blog, surtout d’un sujet si important, mais pour que débat il y ait, il faut accepter les divergences d’idées, ne pas s’offusquer et s’excuser lorsque l’on a pu blesser.
J’en profite pour m’excuser si mes propos ont pu blesser et je suis désolé qu’un débat sur une divergence d’opinion ait pu être interprété comme un lynchage collectif.
Maintenant je passe à autre chose, personnellement.