Cette œuvre fut commandée dans les années 1960 par le Syndicat des fondeurs à Raymond Jupille.Piwi se rappelle que le directeur de la formation professionnelle était un ami de l’artiste professeur de dessin à Pantin où ils demeuraient tous les deux.
L’artiste fit le choix d’une représentation allégorique autour des représentations emblématiques liées à l’activité des fonderies. Il souhaita inscrire la pratique de la fonte, que ce soit dans un but domestique ou artistique, dans l’histoire de l’humanité à travers les figures de l’Âge d’Airain d’Auguste Rodin, de la statue équestre de Bartolomeo Colleoni, du char solaire de Trundholm, du dôme de l’Opéra de Paris ou de la Colonne Vendôme, mais aussi, afin d’en illustrer la vocation contemporaine, par le truchement de la figuration d’une automobile ou d’un avion.
Le peintre n’oublia pas le lien au spirituel par le biais de la présence d’une cloche et n’omit pas non plus une référence historique pédagogique par une citation, nous ramenant à l’Antiquité, figurée par une frise égyptienne.
Enfin, l’énergie électrique, indispensable aujourd’hui aux fondeurs, se voyait honorée grâce à des images d’éclairs et de l’ancienne centrale de Porcheville. Raymond Jupille, par cette synthèse, rendait un hommage appuyé à ces artistes, artisans et industriels qui avaient su, au cours des sociétés humaines successives, faire de cette activité ancestrale un métier de pointe, évoluant sans cesse et répondant aux besoins les plus modernes.
L’avenir de l’A380 désormais assuré grâce à Emirates
Emirates a finalisé une commande de 50 A380 supplémentaires. Airbus ne perdra plus d’argent sur chaque exemplaire livré à partir de 2015.
Premier bilan mitigé pour Ouigo, (à ne pas confondre avec Ouibo)le TGV low cost