Opinion….de …. L’Opinion :
Les difficultés pour trouver un premier emploi ne sont que la partie émergée de l’iceberg. Dette publique, prix de l’immobilier, diplômes au rabais… La facture s’alourdit avec la crise du coronavirus.
Le gouvernement compte présenter d’ici à la fin juillet, au sein de la troisième loi de finances rectificatives de l’année, des mesures pour encourager l’embauche des jeunes à la rentrée de septembre. La Commission européenne a invité mercredi les Etats membres à dépenser 22 milliards d’euros pour l’emploi et la formation professionnelle des jeunes.
« Génération sacrifiée » : la formule est déjà devenue courante pour désigner les jeunes dont l’entrée sur le marché du travail aura été plombée par la crise de la Covid-19. Pour enrayer la propagation du coronavirus – plus mortifère envers les personnes âgées –, on a confiné les populations, stoppé l’économie, et provoqué une grave récession. Les jeunes, moins vulnérables face au virus, ont été privés d’enseignement et de travail.
Il n’y a rien de pire que d’entrer (ou chercher à entrer) sur le marché du travail lors d’une récession. Les entreprises n’embauchent pas, ou bien à des salaires revus à la baisse : toute la carrière subira les conséquences de ce retard au démarrage.
Avec cette crise, le niveau de vie des retraités passera de 105 % à 110 % de celui de l’ensemble de la population, estime le conseil d’orientation des retraites (COR).
« Quand vous subissez un choc négatif, vous devez l’étaler dans le temps, explique l’économiste Eugène Kandel. Malheureusement, cela se fait seulement vers le futur. Donc par définition, la nouvelle génération paye ».
Peut être mais pourquoi en parler sur le blog alors que les ESFF sont tous embauché avant la fin de formation, pour montrer cette embellie, il serait agréable de voir toutes ces têtes de jeunes avec leurs fonctions dans ces entreprises ?
PIWI : allez les jeunes faites vous connaître une photo une entrprise votre fonction