jusqu’à la fin de l’année en fermant 54 des 264 cuves d’électrolyses.
BFM
A l’instar de Duralex, la fonderie d’aluminium primaire réduira sa production de 20% jusqu’à la fin de l’année. L’énergie représente environ un tiers des coûts de revient de l’entreprise.
54 des 264 cuves d’électrolyses seront mises à l’arrêt. L’entreprise a une capacité de production d’environ 285.000 tonnes d’aluminium par année et emploie plus de 600 salariés. Mais les plus affectés seront surtout les 200 sous-traitants qui travaillent régulièrement dans l’usiine
Des prix qui ont explosé
La fonderie fait partie des entreprises les plus énergivores avec une consommation en électricité équivalente à celle de la ville de Marseille L'entreprise bénéficie des tarifs régulés de l'Arenh (Accès régulé à l'électricité historique) pour une partie de son énergie mais doit se fournir au prix fort sur les marchés pour le reste.
« Jusqu’ici, l’Arenh nous permet de bénéficier d’un tarif à 42 euros le mégawattheure pour 60% de notre production. Mais pour les 40% restants, il est passé de 200 euros à plus de 500 euros le mégawattheure! »,