dans lequel nous enferme le PIB pris comme référence unique, et de trouver rapidement une façon plus intelligente de mesurer le développement des nations ; développement nécessaire, car tout être vivant croît, donc se développe… ou meure.
A l’aune de ce nouvel indicateur, nous découvrirons sans doute que la catastrophe économique actuelle n’est pas si dévastatrice qu’on l’imagine. A condition que l’on aide rapidement les branches d’activités inessentielles à se réinventer ; et surtout qu’on aide fortement les individus qui en dépendent à survivre puis à se reconvertir.
J.BELLIER