La poudre d’acier présente la caractéristique d’être résistante à la corrosion et aux hautes températures. Elle est aussi économe en matière première.
Ce sera la plus grosse usine au monde de poudre d’acier atomisée au gaz. Sa capacité atteindra les 40.000 tonnes, soit l’équivalent de la production mondiale actuelle. Cette poudre présentée comme une technologie de rupture servira à fabriquer des pièces dans les secteurs de l’automobile, de l’aéronautique ou encore de l’énergie.
Elle est très demandée en particulier sur les plates-formes de fabrication additive, alternative à l’usinage, appelées aussi imprimantes 3D.
Manoir Industries lui livrera de l’acier sous forme liquide. L’arrivée de MetalValue confortera cette dernière usine de 400 salariés qui appartient depuis 2013 au chinois Yantai Taihai et qui a connu des difficultés par le passé.
Elle devra elle aussi investir, de l’ordre de 25 millions d’euros, pour augmenter ses capacités. Avec, à la clef, une cinquantaine d’emplois. « On assure ainsi à la fois l’avenir d’une vieille industrie et celle de la métallurgie du futur », dit Alain Honnart.
MetalValuea été créé en2006 par d’anciens patrons de la métallurgie, comme Jean-Marie Descarpentries (Carnaud Metalbox) ou Charles Antoine Rougier (Metallgesellschaft). Elle a acquis récemment une usine de pièces métalliques à partir de poudre à Karlskoga, en Suède,et une autre spécialisée dans les machines spéciales à Saint Etienne, dans la Loire. La société a lancé la construction d’une troisième usine à Etain, dans la Meuse, toujours pour fabriquer des pièces à partir de poudre. MetalValue compte 80 salariés pour un chiffre d’affairesde10millionsd’euros,que ses dirigeants veulent multiplier par dix dans les cinq ans.
La poudre d’acier présente la caractéristique d’être résistante à la corrosion et aux hautes températures. Elle est aussi économe en matière première.
Ce sera la plus grosse usine au monde de poudre d’acier atomisée au gaz. Sa capacité atteindra les 40.000 tonnes, soit l’équivalent de la production mondiale actuelle.
Cette poudre présentée comme une technologie de rupture servira à fabriquer des pièces dans les secteurs de l’automobile, de l’aéronautique ou encore de l’énergie.
Elle est très demandée en particulier sur les plates-formes de fabrication additive, alternative à l’usinage, appelées aussi imprimantes 3D.
Manoir Industries lui livrera de l’acier sous forme liquide. L’arrivée de MetalValue confortera cette dernière usine de 400 salariés qui appartient depuis 2013 au chinois Yantai Taihai et qui a connu des difficultés par le passé.
Elle devra elle aussi investir, de l’ordre de 25 millions d’euros, pour augmenter ses capacités. Avec, à la clef, une cinquantaine d’emplois. « On assure ainsi à la fois l’avenir d’une vieille industrie et celle de la métallurgie du futur », dit Alain Honnart.
MetalValuea été créé en 2006 par d’anciens patrons de la métallurgie, comme Jean-Marie Descarpentries (Carnaud Metalbox) ou Charles Antoine Rougier (Metallgesellschaft). Elle a acquis récemment une usine de pièces métalliques à partir de poudre à Karlskoga, en Suède,et une autre spécialisée dans les machines spéciales à Saint Etienne, dans la Loire. La société a lancé la construction d’une troisième usine à Etain, dans la Meuse, toujours pour fabriquer des pièces à partir de poudre.
MetalValue compte 80 salariés pour un chiffre d’affaires de 10 millions d’euros,que ses dirigeants veulent multiplier par dix dans les cinq ans.