Vendredi 30 juin, elle a fêté cet anniversaire. Une soixantaine de fournisseurs, clients, responsables d’entreprises du secteur d’activité, élus, étaient conviés à cette manifestation destinée à mieux faire connaître cette fonderie d’aluminium.
Tous ont pu visiter les ateliers, assister au coulage sous pression ou par gravité de pièces diverses destinées à l’aéronautique, à l’automobile, au bâtiment et autres secteurs d’activité. Mais la Diace va au-delà du coulage : usinage, peinture, montage, conditionnement, font que ce sont des produits finis, élaborés dans le bureau d’études et contrôlés dans le laboratoire, qui sortent de l’usine. Une usine dans laquelle les nombreux robots facilitent le travail des femmes et des hommes, mais aussi permettent la qualité du produit et le respect des délais. C’est d’ailleurs cette qualité qui va permettre bientôt de nouveaux investissements.
Matthieu Hède a ensuite donné la parole à un duo composé de Jean-Paul Hède et Didier Laval, salarié dans l’entreprise depuis l’origine. Ces deux figures emblématiques de la Diace ont retracé, avec quelques anecdotes, les débuts très difficiles, voire décourageants, mais vaincus par une persévérance hors du commun, le déménagement dans l’atelier relais construit par la commune, l’incendie en 2002, l’évolution de l’entreprise, l’arrivée de Matthieu Hède, etc. Une rapide visite des premiers locaux, aux abattoirs, était organisée avant le buffet copieusement garni.
La Dépêche du Midi