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Et encore une fonderie de moins. La concurrence des pièces venant de pays à faibles coûts salariaux. Quelle tristesse. Nous avons maintenant aussi la même chose chez les céréaliers qui vont exploité des terres en Ukraine avec des ouvriers agricoles locaux.
Il reste des cubilots à la Fonte Ardennaise, EJ Picardie, Pam Foug, Fiday Gestion, Peugeot Sept Fons
piwi : cela fait déjà 5.
Petite question…
AIKEN aurait il prévu de liquider la société SAMREV afin de transférer la production de ces pièces de tambourg dans son autre fonderie qui est en plan de continuation ?
Encore « un de plus en moins » respect pour le passionné Yves Orfila.
le 6éme cubilot que je rajoute ,celui de FMGC que j’ai garni avec « le » Robert Besnier pendant 8 ans avant ma retraite .Longue vie à la fonderie .
Toutes les personnes qui travaillent en FONDERIE savent d’où vient le mal, vous allez me dire que je me répète, mais nous pouvons constater une chose,en 1968, il y avait 692 FONDERIES combien en reste t-il actuellement ?
La mauvaise nouvelle est tombée pour les fêtes de fin d’année. La fonderie Samrev de Gasville-Oisème est placée en liquidation judiciaire. Cinquante-cinq salariés perdent leur emploi.
Depuis le 22 décembre, les fours sont éteints à la fonderie Samrev de Gasville-Oisème. Elle est placée en liquidation judiciaire par le tribunal de commerce de Chartres. Cinquante-cinq salariés étaient encore en poste dans la dernière fonderie du département, créée il y a plus de 70 ans. Cette liquidation est l’épilogue d’un long feuilleton social, qui a débuté un peu après 2010, lorsqu’elle s’appelait encore l’Européenne SEA.
Un matériel de production pas adapté
Historiquement, la société était spécialisée dans la fonderie de tambours de freins pour les poids lourds. Un marché terriblement concurrencé par des pays émergents en Asie et en Europe de l’Est, à la main-d’œuvre moins onéreuse.
En 2013, l’Européenne SEA est placée en liquidation judiciaire. Elle est rachetée par Nathalie Aiken et son mari, une famille d’industriels qui possède une entreprise de fabrication de citernes dans le département du Rhône. L’ Européenne SEA s’appelle dorénavant la Samrev. Un peu plus de 70 salariés sont repris.
La candidature d’un repreneur retoquée
Les repreneurs ont de grandes ambitions pour la fonderie de Gasville-Oisème. Elle compte développer la fabrication de disques de freins, de plus en plus utilisés sur les poids lourds modernes. Mais, malgré le soutien de la Banque publique d’investissement (BPI) à cette nouvelle entreprise, faute de pouvoir investir dans du matériel plus performant, les commandes ne suivent pas. La productivité est en retrait par rapport aux grands acteurs mondiaux et les prix s’en ressentent.
En 2015, la société est placée en redressement judiciaire. Les périodes de chômage technique se succèdent et les salariés ne voient pas venir l’embellie. Leurs craintes sont confirmées le 22 décembre dernier, avec le jugement de liquidation judiciaire. L’entreprise a cessé son activité le 31 décembre. Selon nos informations, un repreneur s’était déclaré intéressé, mais son dossier ne paraissait pas assez solide pour assurer la pérennité de l’entreprise. Les 55 salariés restants sont licenciés.
Questions à Nathalie Aiken, PDG de la Samrev
Depuis quand avez-vous pris la direction de la Samrev ?
Il y a deux ans. Lorsque mon mari et moi avons décidé de racheter l’Européenne SEA en 2013, c’est mon époux qui en a pris la direction. Je lui ai succédé en 2015.
La société connaissait déjà des difficultés ?
Oui, depuis de nombreuses années. C’est la raison pour laquelle j’ai pris la décision d’orienter la production vers un marché porteur, celui de la fabrication des disques de freins pour poids lourds.
Que s’est-il passé depuis ?
Le matériel de production était vieillissant et pas adapté à cette évolution. Il aurait fallu investir. J’ai frappé à toutes les portes, mais je n’ai trouvé personne qui accepte de m’aider pour adapter le matériel à notre nouvelle production. Nous n’étions pas compétitifs, en termes de prix de revient, par rapport à nos concurrents mondiaux.
Jacques Joannopoulos
Pour compléter le comptage de Pierre, Il manque les 2 cubilots vent froids de 22T/h de la fonderie BOUHYER à Ancenis (44).
Il y en a un aussi chez D2I à vivier au court voisin de la fonte Ardennaise fabricant d’appareils de chauffages et cocottes. Dans ces deux bourgs il y a 3 cubilots sur moins d’un km² !! qui dit mieux ?
En espérant que cela dure le plus longtemps possible.
Vive la fonderie.
réponse au commentaire 3 de MC BIDOUILLE
Premièrement on ne dit pas « AIKEN » mais Monsieur AIKEN, et deuxièmement, avant de juger sans savoir il faut plutôt regarder les donneurs d’ordres sans scrupules qui ont tendance à faire baisser les prix chaque année, véritable chirurgie des prix dans certains cas, surtout sur le marché du tambour constamment à la baisse qui était la principale fabrication de ce fondeur autour d’un produit propre.
C’est la concurrence hors de nos frontières qui sont à pointer du doigts avec une main d’oeuvre bon marché.
Voilà la dure loi de notre industrie, et pas forcément toujours les patrons qui investissent encore dans nos belles fonderies…il faut avoir du courage et y croire encore !
Toujours dans le groupe Bouhyer, il y a 2 cubilots à vent froid supplémentaires à la fonderie de contrepoids Béroudiaux à Revin (08).
La fonderie Samrev à Gasville-Oisème (Eure-et-Loir) a été liquidée par le tribunal de commerce de Chartres (Eure-et-Loir), entraînant le licenciement de 55 salariés. Ils étaient encore plus de 70 début 2017. L’entreprise a fermé ses portes, les fours sont à l’arrêt, mais deux repreneurs étudieraient encore le dossier.
Spécialiste des disques et tambours de frein pour le secteur automobile, en particulier les poids-lourds, qu’elle écoulait en Europe, en Afrique et au Moyen-Orient, la fonderie Samrev a pris de plein fouet la concurrence chinoise.
« L’Europe et la France ont protégé leurs aciéristes, mais ont oublié de protéger les produits finis de la métallurgie », déplore l’actionnaire Hugh Aiken, qui avait confié les rênes de cette PME à son épouse Nathalie Aiken.
Chiffre d’affaires divisé par deux entre 2014 et 2015
Pour celui qui est également propriétaire de la Fonderie de Nierderbronn (Bas-Rhin), les produits chinois sont « 20 à 25 % moins chers que les produits français. Même si on produit mieux et plus vite, l’écart reste insurmontable pour les clients ». Ironie de l’histoire, alors que la fonderie eurélienne coule, la fonderie alsacienne va mieux, et elle vient de sortir du redressement judiciaire.
Créée il y a plus de 70 ans, l’ex-Européenne SEA a été reprise en 2013 par Hugh Aiken. En 2014, la fonderie devenue Samrev a réalisé 20 millions d’euros de chiffre d’affaires, pour un résultat net de 300 000 euros. Les actionnaires investissent, avec le soutien de Bpifrance. Mais l’année suivante, le chiffre d’affaires plonge à 11 millions d’euros, dont près d’un million de pertes.
L’entreprise a été placée en redressement judiciaire fin 2015, avec un plan de continuation qui vient donc de s’achever. Les exercices 2016 et 2017 n’ont pas été publiés.
Stéphane Frachet
Il y a également la fonderie « SISP FONDERIE DE MALE » ex FONDERIE RENAUDIN (61) qui a un cubilot.
N’oublions pas le vent chaud 14t/h de la fonderie de niederbronn
Bonjour
J’ai bien connu Mr Vincent Dr de la fonderie dans les années 80 auquel je fournissais des Chariots élévateurs Fenwick….
cette fonderie était performante, Quel dommage et que c’est pénible de voir
nos entreprises périrent ou se délocaliser ! ….