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Par : piwi
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vendredi 27 Jan, 2023

Zone de commentaire !

6 commentaires pour : "De quoi le rejet de la réforme des retraites est le nom"

  1. Je suis assez surpris que ce blog jusqu’ici fort avisé quant à ses sources, relaie aujourd’hui des prises de positions politiques issues de média proche de la mouvance d’extrême droite.

    Dommage.

  2. ELISABETH LEVY Fondatrice et directrice de la rédaction de Causeur. Journaliste, elle est chroniqueuse sur CNews, Sud Radio… Auparavant, Elisabeth Lévy a notamment collaboré à Marianne, au Figaro Magazine, à France Culture et aux émissions de télévision de Franz-Olivier Giesbert (France 2). Elle est l’auteur de plusieurs essais, dont le dernier « Les rien-pensants » (Cerf), est sorti en 2017.

  3. N’étant pas partie prenante dans le système français des retraites, je me demande encore toujours quel est le problème :

    le principe du système par répartition n’est-il pas de répartir les cotisations (prélevées à un pourcentage fixe) des actifs vers les retraités à un instant T ? Comment ce système peut-il être « déficitaire » puisque par nature il est équilibré ?

    Quelqu’un peut-il m’expliquer ?

  4. Je vais essayer d’expliquer un problème de math purement français. Quand la totalite des cotisations des actifs est inferieure aux sommes versées au retraité le système est en déficit. Mais ce n’est pas même certain pour certains conomistes français,donc nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions d’un rapport, fait par un organise qui normalement est competent, et si même si cela etait le cas, la solution consiste eventuellement à faire payer les riches, d’ailleur les riches seront mis à contribution pour la majorité des problèmes economiques français
    Quelqu’un disait (surement de droite), un pays pauvre n’est pas un pays ou il n,y a que des pauvres mais un pays ou il n’y a plus de riche.
    Difficile à faire comprendre à un europeen un problème de math français

  5. @chris44 : « Quand la totalité des cotisations des actifs est inférieure aux sommes versées aux retraités le système est en déficit. »

    Mais dans un système par répartition (ce qui doit être le cas en France), cette situation devrait être impossible : on ne peut pas verser aux retraités plus que ce que les cotisants cotisent à l’instant T. C’est le principe même du système par répartition : on ne verse d’un côté QUE et UNIQUEMENT QUE ce qui est cotisé de l’autre.

    Comment peut-on parler de « déficit » dans ce cas ?

     

    PIWI Sauf qu’en France  pour ne pas se mettre à dos les retraités ou les cotisants les pouvoirs publics prennent le relais d’où un déficit ou un excédent

  6. Mais pourquoi les pouvoirs publics se mettraient-ils les retraités à dos, puisque ce sont ces mêmes retraités qui ont mis en place ce système par répartition. En effet, ils ont voté pour des gens dont cette politique était clairement affichée dans les programmes des partis, n’est-ce pas ? Comment ces mêmes retraités peuvent-ils aujourd’hui refuser ou remettre en cause le principe du système strict par répartition ??
    L’espoir que chaque année le gâteau à se partager augmente en volume est fondamentalement associé au risque de diminuer le montant des retraites si le gâteau diminue en volume. On ne peut pas décemment garantir le montant des retraites dans un système par répartition. Si la volonté était de garantir le montant des retraites, il fallait opter pour la retraite par capitalisation…

     

    PIWI  : CQFD en effet, mais on est en FRANCE

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