La Région wallonne, actionnaire principal (via la Sogepa), pourrait donc décider d’une faillite. Cela permettrait d’éponger les dettes, et d’attirer un éventuel repreneur.
« L’option que nous défendons, c’est celle où l’activité fonderie et celle de l’assemblage tôlerie continuent, déclare Emmanuel Chemello (permanent CSC). Pour nous, la garantie du maintien de l’activité sur le site est beaucoup plus sûre si l’activité fonderie subsiste. »
Et en cas de reprise, le principal souci des syndicats est de veiller au statut et à la façon dont seront réengagés les membres du personnel. « L’employeur qui va peut-être se déterminer va faire en sorte que les conditions de rentabilité soient les meilleures possibles pour lui. Donc, nous, ce que nous craignons, c’est qu’il s’attaque aux salaires, aux conventions, qu’il amène de la flexibilité… Bien sûr, notre préoccupation première est que les travailleurs gardent leur emploi, mais un emploi de qualité et bien rémunéré. »
RTBF
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