Pour Max Blanchet, l’industrie du futur est une opportunité pour l’Hexagone de contrer la désindustrialisation, alors que « les grandes entreprises françaises investissent de moins en moins sur le territoire car elles se concentrent sur une logique de globalisation plutôt que d’exportation, comme l’Allemagne ».
L’ouvrage donne des exemples concrets de projets illustrant le concept d’usine du futur et détaille les métiers susceptibles de disparaître avec cette révolution et ceux dont on aura encore besoin demain comme la fonderie.