Ce jeudi, les salariés ont voté le blocage des deux sites des Fonderies, Aluminim et Fonte.
Les employés étaient réunis en assemblée générale, ils avaient repris le travail après deux mois de conflit.
Ce jeudi, les salariés ont voté le blocage des deux sites des Fonderies, Aluminim et Fonte.
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Selon Géry Bégeault, Hugh Aiken, un entrepreneur américain qui a racheté en 2010 à De Dietrich la fonderie de Niederbronn-les-Bains (Bas-Rhin), a visité personnellement le site et serait potentiellement intéressé. LU DANS LA CHARENTE LIBRE
Selon Géry Bégeault, Hugh Aiken, un entrepreneur américain qui a racheté en 2010 à De Dietrich la fonderie de Niederbronn-les-Bains (Bas-Rhin), a visité personnellement le site et serait potentiellement intéressé.
Reprise du conflit à la Fonderie du Poitou Alumium
Les salariés de la Fonderie du Poitou Alumium d’Ingrandes (Vienne) ont voté jeudi la grève et le blocage de l’usine pour dénoncer la baisse des commandes de leur principal client, Renault, un mois après la fin d’un précédent conflit de huit semaines, selon les syndicats.
Ce blocage (…) se fait 24H/24 renouvelable chaque jour en assemblée générale », précise dans un communiqué l’intersyndicale.
La grève et le blocage du site ont été votés en assemblée générale en début d’après-midi après un comité d’entreprise extraordinaire durant lequel l’administrateur judiciaire, Hélène Bourbouloux, a indiqué qu’elle envisageait de demander le placement en liquidation judiciaire avec poursuite d’activité de la Fonderie lors de l’audience du 30 novembre au tribunal de Nanterre, a indiqué à l’AFP Géry Bégeault, représentant CGT de l’intersyndicale CGT/CFE-CGC/FO/UDT.
La Fonderie avait été placée en redressement judiciaire le 20 octobre par le tribunal de commerce de Nanterre, le siège de Montupet se trouvant à Clichy (Hauts-de-Seine).
Les salariés protestent contre la baisse de commandes de 16.000 culasses par semaine à 8.000, annoncée vendredi par Renault, selon M. Bégeault.
Selon lui, l’hypothèse d’un placement en liquidation judiciaire de la FDPA, qui emploie environ 440 salariés, est consécutive à cette baisse. « C’est scandaleux. Nous voulons que Renault maintienne ses engagements de commandes », a dit le syndicaliste.
Les salariés ont aussi voté le blocage du site voisin de la Fonderie du Poitou Fonte (FDPF, groupe Teksid), qui fabrique des carters pour Fiat (60%) et Renault (40%). Les salariés de la FDPF ne sont pas en grève mais ceux de la FDPA « ne laissent pas passer les camions », a précisé M. Béjeault.
« Les différentes équipes vont se relayer pour assurer le blocage du site. Les salariés de la fonte continuent de travailler mais à l’Alu, c’est la grève, l’inactivité totale », a renchéri un membre de l’intersyndicale.
Les salariés de la FDPA avaient mis fin le 27 octobre à deux mois de grève contre un plan de baisse des salaires.
Le ministre de l’Industrie Eric Besson, qui cherche un repreneur pour le site, a rappelé mercredi que le PDG de Renault Carlos Ghosn s’était engagé « à maintenir ses approvisionnements auprès de la Fonderie du Poitou Aluminium, permettant d’assurer le plan de charges du futur repreneur, sous réserve que celui-ci continue de satisfaire aux exigences industrielles ».
M. Besson demande à présent au constructeur d’adresser « au site un volume de commandes capable de garantir dans les meilleurs conditions son fonctionnement courant », selon un communiqué.
« Renault confirme qu’il poursuivra scrupuleusement le respect de ses engagements », a réagi une porte-parole du constructeur.
Selon Géry Bégeault, Hugh Aiken, un entrepreneur américain qui a racheté en 2010 à De Dietrich la fonderie de Niederbronn-les-Bains (Bas-Rhin), a visité personnellement le site et serait potentiellement intéressé.
Selon Géry Bégeault, Hugh Aiken, un entrepreneur américain qui a racheté en 2010 à De Dietrich la fonderie de Niederbronn-les-Bains (Bas-Rhin), a visité personnellement le site et serait potentiellement intéressé.
Une table ronde avec plusieurs élus locaux est prévue vendredi à la mi-journée à la Fonderie, selon le communiqué de l’intersyndicale.
Messieurs les syndicalites de FDPA… Qu’espèriez-vous après avoir bloqué pendant 2 mois votre usine ? RENAULT a tout à fait raison de jouer la prudence avec vous. Les pièces produites chez FDPA peuvent facilement migrer chez d’autres industriels, bien plus honnetes et intègres que vous. Je pense particulièrement à NEMAC en allemagne… Vous vous êtes tirés une balle dans le pied. Maintenant, n’allez pas pleurer que Renault baisse ses commandes.. J’espère que Renault se souviendra du préjudice que vous leur avez fait subir depuis la reprise de septembre, et que les grands argentiers de votre principal client (vous dépendez à 80% de Renault pour vivre) n’investiront pas un euro pour vous racheter… Messieurs les syndicalistes à force de réclamer, c’est vers une fermeture pure et simple du site FDPA que vous vous dirigez.. Reflechissez-y !!!
Très bien NICK. Tu expliques clairement ce que j’avais annoncé en une phrase, de manière brute de fonderie (et de forge), comme très vraisemblable, mais sans autant d’explications et ce il y a déjà quelques mois : la fermeture !!!