qui fait suite au vent de sable en France plus modeste de février :
un ami et fidèle lecteur du blog nous propose ce poème .
Dans ma ville ; et dans nos vies
Dans ma ville plus un pékin
Car sur le sable git mes envies
Il pleut des masques sur les faces
Des pauvres petites chinoises
Que voulez vous que l’on y fasse
Elles ne sont pas dans le val d’Oise
Dans les vals d’Oise gisent des sables
Mais insensibles aux tempêtes
Gisants si lisses et si stables
Ne s’envolent guère sur nos tètes
Prions que nul désert de sable
Ne viennent sensibles aux vents
Créer ce sentiment désagréable
De rester masqués tout le temp
Bashung Alain aurait pu chanter
Gobi ô Gobi
Tu veux que j’te chante la mer
Le long le long
des golfes pas très clairs
En voyant tout cet air
Pas très propre
Un requin qui fumait plus
A rallumer son clop
Ohhhhh Gobi!!!!!!