La première critique qu’il reçut fut celle de Max Favalelli, dans France-Soir, en 1956 :
« Michel Legrand confond la musique et une fonderie du Creusot. »
Une manière de dénoncer la modernité du jazz que pratiquait le compositeur, pianiste et chef d’orchestre (mais aussi chanteur et acteur).
Piwi en profite pour dire son amitié à Macha Meril l’épouse du grand musicien rencontrée à Argentan à l’université du goût.
