Par Enrique Moreira
Baisse de la demande sur l’électrique, concurrence de la Chine, plans sociaux en série, notamment chez les équipementiers… l’industrie automobile mondiale vit une année 2024 particulièrement difficile. Simple poussière dans le moteur ou panne plus importante dans un secteur habituellement bien huilé ? Eléments de réponse.
Coup de froid, coup de frein, ralentissement, crash… les qualificatifs pour décrire l’année 2024 de l’industrie automobile mondiale ne manquent pas. Et tous partagent la même tonalité. Celle d’un exercice particulièrement difficile entre une demande mondiale en berne, aussi bien pour les véhicules thermiques qu’électriques, la pression de Bruxelles pour faire baisser les émissions de CO2 des constructeurs, ou encore l’offensive des concurrents chinois faisant chuter les prix.