mon tout dernier Bronze, aboutissement d’une nouvelle aventure artistique peu commune,
une œuvre qui m’a été commandée par le Président du « Fonds historique de la Truffole », Joël Ferrand,
du petit village de St-Alban d’Ay en Ardèche, lieu où la pomme de terre (qui s’appelait alors « truffole ») aurait été cultivée pour la première fois en France vers 1540, après avoir été apportée par le moine franciscain Pierre Sornas de Tolède en Espagne.
Ce petit village voue un culte remarquable à ce « délice universel… trésor interminable des peuples » selon les mots du grand poète Pablo Neruda dans son « Ode à la Papa » et ce fut pour moi non seulement un honneur, mais aussi une vraie joie de pouvoir répondre à cette demande et d’immortaliser « La Truffole » dans ce métal noble qu’est le Bronze, contribuant ainsi également à la promotion et la valorisation de ce délicieux fruit de la terre et de son histoire.
J’ai pu remettre samedi dernier en mains propres à M. Ferrand ce Bronze (réalisé à la Fonderie d’Art de la Plaine de Saint Denis), emblème du « Fonds historique de la Truffole » qu’il représente, une association très active que je vous invite à découvrir sur le lien suivant : http://truffole.com/
Et bien sûr, vous pouvez retrouver « La Truffole » sous toutes ces facettes sur mon site : mon tout dernier Bronze, aboutissement d’une nouvelle aventure artistique peu commune, une œuvre qui m’a été commandée par le Président du « Fonds historique de la Truffole », Joël Ferrand, du petit village de St-Alban d’Ay en Ardèche, lieu où la pomme de terre (qui s’appelait alors « truffole ») aurait été cultivée pour la première fois en France vers 1540, après avoir été apportée par le moine franciscain Pierre Sornas de Tolède en Espagne. Ce petit village voue un culte remarquable à ce « délice universel.
Anne
Pour info, deux autres Bronzes sont en cours de réalisation : « Apocalypse » 2/8 et ma dernière création « Requiem de Loire » 1/8 (à découvrir prochainement…)
anne.boisaubert@orange.fr
La prochaine œuvre sera peut être une vrai truffe.
Mais au prix du kilo cela demandera un investissement supplémentaire.
Investissement certainement compensé par le parfum qui accompagnera l’artiste au fil du modelage de ce tubercule et plus encore lorsqu’on pourra préparer l’omelette où cet odorant tubercule finira sa vie de truffe.