« Pilori » désigne également le tourment lui-même dont la durée était variable, allant de quelques heures à plusieurs jours. Il pouvait s’assortir de diverses autres peines.
Le pilori porte aussi le nom d’échelle, notamment dans des régions près de Paris, où certaines communes possèdent encore une « rue de l’échelle » perpétuant ce souvenir.
A partir de 1832, le carcan est laissé à l’appréciation des juges de la cour d’assises, hors les cas de récidive, puis la peine est supprimée par un décret du 12 avril 18484.
Une forme plus simple du pilori était le carcan planche percée de un à trois trous où on coinçait la tête et parfois les deux mains du condamné de manière à pouvoir le promener.
Claude Renault ancien de Creil, après une vie professionnelle à la fonderie Citroen de Nanterre, un passage comme formateur au SGFF, dirigea la fonderie La Coquille à Dangu puis Dynafond à côté de Gisors. Son fils, Sébastien, ancien ESFF dirige l’usine Faurecia de Saint Quentin.
Chaque année depuis des lustres, nous prenons une semaine dans une région française pour nous ressourcer avec les Belperche et maintenant avec Jacqueline Rittemard depuis qu’André nous a quittés.
Ici au pilori de Sauveterre de Béarn,nous avons cloué notre ami, manière de le mettre en valeur pour son anniversaire.