Selon Ouest France
« Cette plate-forme biologique accueillerait des sables de fonderies et des terres polluées issues de la Normandie. « Ces dernières proviendraient de friches industrielles », explique Martin Lamy, directeur de SEA. D’une capacité de 50 000 tonnes par an, cette plate-forme viserait à abaisser les teneurs en phénols des sables de fonderie et en polluants hydrocarburés de terres polluées. Autrement dit : « À les valoriser pour les réutiliser, par exemple, dans la réalisation de routes », précise Martin Lamy.
Ces sables et terres seraient traités dans une ancienne carrière de 15 000 m2, à Esquay-sur-Seulles. »
Voilà aussi un bon moyen aussi pour ne pas satisfaire au code de l’environnement et notamment aux obligations de remise en état…