Thyssenkrupp : pourquoi le doute persiste chez le géant allemand de l’acier
Le conglomérat allemand a dévoilé mardi une perte nette de 1,5 milliard d’euros sur son exercice clos au 30 septembre. Le doute persiste sur la future stratégie de la filiale sidérurgique, dont Daniel Kretinsky a pris 20 % cette année.
Il n’y aura plus de café et de petits gâteaux dans les réunions internes chez ThyssenKrupp.
Mais la décision, récemment prise par le management, est juste un avant-goût pour les 27.000 employés de la filiale ThyssenKrupp Steel Europe, dont le tchèque Daniel Kretinsky vient de prendre 20 % et qui se prépare à des milliers de suppressions de postes.µµ
De fait, à en juger par les résultats publiés ce mardi, il y a le feu.